C’est le temps des vœux, mais à quoi tient le bonheur ? Attendre qu’il provienne des faits extérieurs n’est-il pas le meilleur moyen de se rendre malheureux ?
Le temps des vœux
Nous sommes encore dans le saison des vœux et j’en profite pour souhaiter à chacun et chacune d’entre vous le meilleur pour 2017.
Il est bien normal de se vouloir mutuellement du bien et de se le dire, c’est comme une caresse que l’on s’échange, une bénédiction qui passe des uns aux autres. Et ça ne peut faire que du bien.
Esprits chagrin
J’entends pourtant ici et là quelques voix qui s’élèvent pour pointer l’inutilité de ces pratiques. « A qui ont donc servi les vœux pour 2016, vues les difficultés qui s’y sont accumulées ?».
Objectivement, ces remarques sont fondées.
Mais peut-être faut-il allonger son regard un peu plus loin, élargir son champ de perception. D’une part, tout n’est pas visible à l’œil nu et de bonnes choses en préparation ne sont pas toujours directement perceptibles.
Mais on peut s’interroger également sur ce qu’est une « bonne année ».
Il est où l’bonheur ?
Si l’on attend que le bonheur provienne des faits extérieurs, nous risquons effectivement d’être très déçus. Car joies et peines font partie de la condition humaine. Savez-vous qu’en 2017, la mort et la maladie feront toujours partie de nos vies 😉 ?
Je peux donc vous prédire qu’en 2017, vous aurez de beaux coups de chance et des moments où rien ne semble aller comme vous le souhaitez.
Alors, serons-nous heureux(se) en 2017 ?
La réponse est OUI.
OUI si nous comprenons que ce ne sont pas les faits en eux-mêmes qui détiennent notre ressenti, mais LA FACON dont nous les interprétons, les traduisons, les appréhendons.
OUI si nous acceptons de travailler à convertir les automatismes de nos pensées négatives.
Le regard que nous portons sur les événements peut nous détruire ou nous rendre plus forts.
C’est un effort à réaliser qui vaut de l’or !
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